
Oui, Manu Larrouy, pour ce second album, ne s'est rien refusé. Embaucher un des meilleurs producteurs actuels (issu d'un groupe qui a vendu des disques au quintal dans les années 80), fignoler un son eighties sans déflorer la pop contemporaine dont il est fan, reprendre du Gainsbourg (bientôt sur OFF) ou du INXS sans rougir... et, last but not least, demander à Mondino de shooter la pochette! La classe, non?