
Véronique Leblond, MD, docteur en médecine à l’hôpital Pitié Salpêtrière, Paris, France explique qu’il devient de plus en plus courant d’adapter le traitement au profil du malade et au profil de la maladie. Certains patients, généralement plus jeunes et qui ont des cellules avec les genes des immunoglobulines mutés seront plus généralement traités par chimiothérapie. Au contraire, les patients avec une maladie plus aggressive ou avec des d’anomalies génétiques de mauvais prognostic ne recevront pas de chimiothérapie et seront traités par les nouvelles drogues.